UN GARÇON EMPOISONNÉ délivré par la puissance de Dieu
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UN GARÇON EMPOISONNÉ délivré par la puissance de Dieu

Agenouillé le garçon qui fut empoisonné

S’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal : marc 16 : 18

Le commencement

La quiétude de ce petit coin calme, de la banlieue de Tours ne laissait rien présager de mal. Nul n’aurait pu supposer que cette petite maisonnette construite par un père de famille, aurait été le théâtre d’un tel événement .

Tout a commencé par une belle matinée ensoleillée de Septembre: Septembre, le mois “CHÉRI” Tziganes, c’est l’époque des vendanges, des “NIGLOS” (HÉRISSONS) et aussi le temps de rentrer chez soi “Chez soi” signifie bien souvent pour les Tziganes une simple parcelle de terrain inconstructible située en dehors des villes et des villages.

Là, ces gitans y cherchent refuge pour l’hiver à “l’abri” des “CLISTÉS” (Gendarmes). Ramoutcho, rentre chez lui, et se met en devoir d’arracher les herbes et les ronces qui avaient poussé pendant son absence.Un gars du village qui passait, lui conseilla d’utiliser du désherbant.

— J’en ai un bon à la maison, je te le porterai cet après-midi, lui avait dit le “Gadjo”.

L’après-midi il revint avec son produit. Après avoir arrosé son terrain. le gitan mit le restant du liquide dans un litre de vin qui était et c’est alors qu’eut lieu l’accident.

Ce fils du gitan mangeait. Apercevant la bouteille, il crut qu’il s’agissait de vin et la porta à ses lèvres…. et ce fut le drame !

L’écume lui vint à la bouche. il fut saisi d’une forte fièvre.

Transporté d’urgence à l’hôpital de Tours, les docteur dirent : “Nous ne pouvons rien pour lui, il faut l’emmener à Paris, au centre anti-poison ”Fernand-Vidal”, et immédiatement l’enfant y fut transporté.

DIEU A LE CONTRE POISON

Sur la demande de la famille je me suis rendu sur place. Là jai rencontré le père du petit garçon qui m’a dit :

“Je ne savais pas que mon geste aurait des conséquences tragiques”, il m’a également fait par du désarroi de sa femme,

– ma femme était désespérée, alors je lui ai dit : Sarah ! où est ta foi ?

J’essayai par là de lui donner un peu de courage, car malgré tout je faisais confiance à mon Baro-Devel (Grand-Dieu). Entre-temps mon beau-père avait téléphoné à l’hôpital Fernand-Vidal de Paris.

On lui dit : Si vous voulez le voir en vie il faut venir tout de suite. Pourtant le docteur m’avait dit : il vaut mieux ne pas le voir, c’est pas beau, cela va vous impressionner.

L’enfant était allongé presque sans vie. Le poison, ce terrible poison était entrain de faire son œuvre. Pendant ce temps, plusieurs frères et sœurs priaient.

Le père du garçon, confiant au Seigneur, avait dit au médecin  Docteur, Dieu a le contre-poison.

LA SCIENCE CONFIRME LE MIRACLE

De retour à Paris, je me suis mis en rapport avec le professeur GOTTIER, là-même où l’enfant avait été soigné :

Voici le résumé de notre conversation téléphonique .

 Monsieur le professeur, vous avez admis dans votre service un jeune gitan de 14 ans, pouvez-vous nous donner quelques renseignement sur ce poison ?

Le professeur : ”S’il s’agit d’un produit appelé “GRAMOXONE 2“, inventé par un chimiste Anglais. Avalé, il est très dangereux il provoque la mort par asphyxie. Nous avons dû glacer le sang de notre jeune patient.

— Existe-t-il un antidote ?

Le professeur : “ll n’existe aucun contre-poison”.

 Merci, M. le professeur de toutes ces précisions.

Cependant l’incertitude devait encore durer 2 jours : Au matin du deuxième jour, le médecin vint lui rendre visite à l’enfant et lui dit : “Mon garçon, tu devrais être au ciel depuis deuxjours”, et se tournant Vers les parents :

— Je vois que vous avez un Dieu”.

Devant ce miracle on ne peut que louer et Bénir le Seigneur de ses grâces.

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